IN OMNIBUS CHRISTUS
 
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JESUS CHRIST, L'UNIQUE SAUVEUR 4 "A toutes les époques, et plus particulièrement à la nôtre, le devoir fondamental de l'Eglise - comme je le rappelais dans ma première encyclique qui avait valeur de programme - est de diriger le regard de l'homme, d'orienter la conscience et l'expérience de toute l'humanité vers le mystère du Christ"(4). 4 Ibid, RH 10 Ic, p 275. La mission universelle de l'Eglise découle de la foi en Jésus Christ, comme le proclame la profession de foi trinitaire: "Je crois en un seul Seigneur, Jésus Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles ...). Pour nous les hommes, et pour notre salut, il descendit du ciel. Par l'Esprit Saint, il a pris chair de la Vierge Marie, et s'est fait homme"(5). L'événement de la Rédemption est le fondement du salut de tous, "parce que chacun a été inclus dans le mystère de la Rédemption, et Jésus Christ s'est uni à chacun, pour toujours, à travers ce mystère"(6). La mission ne peut être comprise et fondée que dans la foi. 5 Credo de Nicée-Constantinople: DS 150 6 Encycl. Redemptor hominis, RH 13 : l.c., p. 283. Et pourtant, à cause des changements de l'époque moderne et de la diffusion de nouvelles conceptions théologiques, certains s'interrogent: la mission auprès des non-chrétiens est-elle encore actuelle? N'est-elle pas remplacée par le dialogue inter-religieux? La promotion humaine n'est-elle pas un objectif suffisant? Le respect de la conscience et de la liberté n'exclut-il pas toute proposition de conversion? Ne peut-on faire son salut dans n'importe quelle religion? Alors, pourquoi la mission? "Nul ne vient au Père que par moi" ( Jn 14,6 ) 5 En remontant aux origines de l'Eglise, nous voyons clairement affirmé que le Christ est l'unique Sauveur de tous, celui qui seul est en mesure de révéler Dieu et de conduire à Dieu. Aux autorités religieuses juives qui interrogent les Apôtres au sujet de la guérison de l'impotent qu'il avait accomplie, Pierre répond: "C'est par le nom de Jésus Christ le Nazôréen, celui que vous, vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c'est par son nom et par nul autre que cet homme se présente guéri devant vous ... Car il n'y a pas sous le ciel d'autre nom donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés" ( Ac 4,10; Ac 4,12 ). Cette affirmation adressée au Sanhédrin, a une portée universelle, car pour tous - Juifs et païens -, le salut ne peut venir que de Jésus Christ. L'universalité de ce salut dans le Christ est affirmée dans tout le Nouveau Testament. Saint Paul reconnaît dans le Christ ressuscité le Seigneur: "Car - écrit-il -, bien qu'il y ait, soit au ciel, soit sur la terre, de prétendus dieux - et de fait il y a quantité de dieux et quantité de seigneurs -, pour nous en tout cas, il n'y a qu'un seul Dieu, le Père, de qui tout vient et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes" ( 1Co 8,5-6 ). Le Dieu unique et l'unique Seigneur sont proclamés par contraste avec la multitude des "dieux" et des "seigneurs" que le peuple reconnaissait. Paul réagit contre le polythéisme du milieu religieux de son temps et met en relief le trait caractéristique de la foi chrétienne: la foi en un seul Dieu, et en un seul Seigneur envoyé par Dieu. Dans l'Evangile de saint Jean, l'universalité du salut par le Christ comprend les aspects de sa mission de grâce, de vérité et de révélation: "Le Verbe est la lumière véritable, qui éclaire tout homme" (cf. Jn 1,9 ). Et encore: "Nul n'a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, lui l'a fait connaître" ( Jn 1,18 cf. Mt 11,27 ). La révélation de Dieu devient, par son Fils unique, définitive et achevée: " Après avoir, à maintes reprises et sous maintes formes, parlé jadis aux Pères par les prophètes, Dieu, en ces jours qui sont les derniers, nous a parlé par le Fils qu'il a établi héritier de toutes choses, par qui aussi il a fait les siècles" ( He 1,1-2 cf. Jn 14,6 ). Dans cette Parole définitive de sa révélation, Dieu s'est fait connaître en plénitude: il a dit à l'humanité qui il est. Et cette révélation définitive que Dieu fait de lui-même est la raison fondamentale pour laquelle l'Eglise est missionnaire par sa nature. Elle ne peut pas ne pas proclamer l'Evangile, c'est-à-dire la plénitude de la vérité que Dieu nous a fait connaître sur lui-même. Le Christ est l'unique médiateur entre Dieu et les hommes: "Car Dieu est unique, unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus, homme lui-même, qui s'est livré en rançon pour tous. Tel est le témoignage rendu aux temps marqués et dont j'ai été établi, moi, héraut et apôtre je dis vrai, je ne mens pas, docteur des païens, dans la foi et la vérité" ( 1Tm 2,5-7 cf. He 4,14-16 ). Les hommes ne peuvent donc entrer en communion avec Dieu que par le Christ, sous l'action de l'Esprit. Sa médiation unique et universelle, loin d'être un obstacle sur le chemin qui conduit à Dieu, est la voie tracée par Dieu lui-même, et le Christ en a pleine conscience. Le concours de médiations de types et d'ordres divers n'est pas exclu, mais celles-ci tirent leur sens et leur valeur uniquement de celle du Christ, et elles ne peuvent être considérées comme parallèles ou complémentaires. 6 Il est contraire à la foi chrétienne d'introduire une quelconque séparation entre le Verbe et Jésus Christ. Saint Jean affirme clairement que le Verbe, qui "était au commencement avec Dieu", est celui-là même qui "s'est fait chair" ( Jn 1,2; Jn 1,14 ). Jésus est le Verbe incarné, Personne une et indivisible: on ne peut pas séparer Jésus du Christ, ni parler d'un "Jésus de l'histoire" qui serait différent du "Christ de la foi". L'Eglise connaît et confesse Jésus comme "le Christ, le Fils du Dieu vivant" ( Mt 16,16 ). Le Christ n'est autre que Jésus de Nazareth, et celui-ci est le Verbe de Dieu fait homme pour le salut de tous. Dans le Christ "habite corporellement toute la Plénitude de la Divinité" ( Col 2,9 ) et "de sa plénitude nous avons tous reçu" ( Jn 1,16 ). Le "Fils unique qui est dans le sein du Père" ( Jn 1,18 ) est "le Fils bien-aimé, en qui nous avons la rédemption ... Dieu s'est plu à faire habiter en lui toute la Plénitude et, par lui, à réconcilier tous les êtres pour lui, aussi bien sur la terre que dans les cieux, en faisant la paix par le sang de sa Croix" ( Col 1,13-14; Col 1,19-20 ). C'est précisément ce caractère unique du Christ qui lui confère une portée absolue et universelle par laquelle, étant dans l'histoire, il est le centre et la fin de l'histoire elle-même(7): "Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin" ( Ap 22,13 ). 7 Cf. CONC. CUM. VAT. II, Const. past. sur l'Eglise dans le monde de ce temps Gaudium et spes, GS 2 S'il est donc normal et utile de prendre en considération les divers aspects du mystère du Christ, il ne faut jamais perdre de vue son unité. Alors que nous découvrons peu à peu et que nous mettons en valeur les dons de toutes sortes, surtout les richesses spirituelles, dont Dieu a fait bénéficier tous les peuples, il ne faut pas les disjoindre de Jésus Christ qui est au centre du plan divin de salut. Comme, "par son Incarnation, le Fils de Dieu s'est en quelque sorte uni lui-même à tout homme", "nous devons tenir que l'Esprit Saint offre à tous, d'une façon que Dieu connaît, la possibilité d'être associés au Mystère pascal"(8). Le plan de Dieu est de "ramener toutes choses sous un seul Chef, le Christ, les êtres célestes comme les terrestres" ( Ep 1,10 ). Vivre le mystère du Christ " envoyé " 88 La communion intime avec le Christ est un élément essentiel de la spiritualité missionnaire: on ne peut comprendre ni vivre la mission qu'en se référant au Christ comme à celui qui a été envoyé pour évangéliser. Paul en décrit les comportements: " Ayez entre vous les mêmes sentiments qui sont dans le Christ Jésus: Lui, de condition divine, ne retint pas jalousement le rang qui l'égalait à Dieu. Mais il s'anéantit lui-même, prenant condition d'esclave, et devenant semblable aux hommes. S'étant comporté comme un homme, il s'humilia plus encore, obéissant jusqu'à la mort, et à la mort sur une croix " ( Ph 2,5-8 ). Ici se trouve décrit le mystère de l'Incarnation et de la Rédemption comme dépouillement total de soi qui amène le Christ à vivre pleinement la condition humaine et à adhérer jusqu'au bout au dessein du Père. Il s'agit d'un anéantissement qui est toutefois empreint d'amour et qui exprime l'amour. La mission parcourt ce même chemin et a son aboutissement au pied de la Croix. Il est demandé au missionnaire de " renoncer à lui-même et à tout ce qu'il a possédé jusque-là, et de se faire tout à tous "(172), dans la pauvreté qui le rend libre pour l'Evangile, dans le détachement des personnes et des biens de son milieu pour se faire le frère de ceux à qui il est envoyé et leur apporter le Christ sauveur. C'est à cela que tend la spiritualité du missionnaire: " Je me suis fait faible avec les faibles... Je me suis fait tout à tous, afin d'en sauver à tout prix quelques-uns. Et tout cela, je le fais à cause de l'Evangile..." ( 1Co 9,22-23 ). 172 CONC. CUM. VAT. II, Décret sur l'activité missionnaire de I'Eglise Ad gentes, AGD 24 Précisément parce qu'il est " envoyé ", le missionnaire expérimente la présence réconfortante du Christ qui l'accompagne à tout instant de sa vie: " N'aie pas peur... car je suis avec toi " ( Ac 18,9-10 ), et il l'attend au coeur de tout homme et de tout peuple. Aimer l'Eglise et les hommes comme Jésus les a aimés 89 La spiritualité missionnaire est caractérisée également par la charité apostolique, celle du Christ venu " afin de rassembler dans l'unité les enfants de Dieu dispersés " ( Jn 11,52 ), du Bon Pasteur qui connaît ses brebis, qui les cherche et qui offre sa vie pour elles ( Jn 10 ). Celui qui a l'esprit missionnaire éprouve le même amour que le Christ pour les âmes et aime l'Eglise comme le Christ. Le missionnaire est poussé par le " zèle pour les âmes ", qui s'inspire de la charité même du Christ, faite d'attention, de tendresse, de compassion, d'accueil, de disponibilité, d'intérêt pour les problèmes d'autrui. L'amour de Jésus pénètre en profondeur: lui qui " connaissait ce qu'il y avait dans l'homme " ( Jn 2,25 ), aimait tous les hommes en leur offrant la rédemption et souffrait quand on refusait le salut. Le missionnaire est l'homme de la charité: pour pouvoir annoncer à chacun de ses frères qu'il est aimé de Dieu et qu'il peut lui-même aimer, il doit faire preuve de charité envers tous, dépensant sa vie pour son prochain. Le missionnaire est le " frère universel ", il porte en lui l'esprit de l'Eglise, son ouverture et son intérêt envers tous les peuples et tous les hommes, spécialement les plus petits et les plus pauvres. Comme tel, il dépasse les frontières et les divisions de race, de caste ou d'idéologie: il est signe de l'amour de Dieu dans le monde, c'est-à-dire de l'amour sans aucune exclusion ni préférence. Enfin, comme le Christ, il doit aimer l'Eglise: " Le Christ a aimé l'Eglise: il s'est livré pour elle " ( Ep 5,25 ). Cet amour, qui va jusqu'au don de la vie, est pour lui un point de repère. Seul un profond amour pour l'Eglise peut soutenir le zèle du missionnaire; son obsession quotidienne est - comme le dit saint Paul - " le souci de toutes les Eglises " ( 2Co 11,28 ). Pour tout missionnaire, " la fidélité au Christ est inséparable de la fidélité à son Eglise "(173). 173 CONC. CUM. VAT. II, Décret sur le ministère et la vie des prêtres Presbyterorum ordinis, PO 14 Le véritable missionnaire, c'est le saint 90 L'appel à la mission découle par nature de l'appel à la sainteté. Tout missionnaire n'est authentiquement missionnaire que s'il s'engage sur la voie de la sainteté: " La sainteté est un fondement essentiel et une condition absolument irremplaçable pour l'accomplissement de la mission de salut de l'Eglise "(174).
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Naho haciye imyaka 2011 Kristu aje kw’isi, igikorwa co kumenyesha Inkuru Nziza yiwe kiracari mu ntango.
Nta gikorwa ciza tugirira umuntu coza kiruta ukumumenyesha Inkuru Nziza.
Imiliyoni n’imiliyoni z’abantu baracarindiriye iteka ry’ukumenyeshwa Inkuru Nziza ; musore, mwigeme, urashobora kubamara iyo nyota kubw’igisabisho, utwigoro n’ubuzima bwawe.
Rwaruka, ntimugatinye gukorera ubutumwa bw’ugukwiza hose Inkuru Nziza.
Turi Imikangara y’Imana kugirango abantu bose bakire.
Umutumwa Paulo avuga ati : Noba ndarwiciriye ntamenyesheje Inkuru Nziza.
« Genda mu bihugu vya kure niho ngomba kukurungika » (Ibik. 22, 21).
Izina nyaryo ry’Ekleziya ni « Ukurungikwa ».
« Nanje ndi kumwe namwe ubutakibavirira gushika ku muhero w’isi » (Mat. 28, 19).
« Ivyimburwa ni vyinshi yamara abakozi ni bake : Sabe rero Nyenumurima arungike abakozi benshi mu murima wiwe » (Lk 10, 2).
« Gende mwigishe abantu bose, mubabatize kw’izina rya Data n’irya Mwana n’irya Mutima Mweranda » (Mat. 28, 19).
 
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Rwaruka, ntimugatinye gukorera ubutumwa bw’ugukwiza hose Inkuru Nziza.
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